Le cadavre exquis

Matthew Grabelsky : « Mon concept réside dans le fait que ces personnages ont pris vie dans le métro puis se sont répandus à travers le monde. Je veux faire des tableaux dans différents endroits de New York. Je vis actuellement à Los Angeles et je m’attends donc à ce que mes personnages se rendent à LA à un moment donné. »

Ce matin, pour « fêter » la fermeture de l’école, faire un peu de grammaire et s’initier au surréalisme, nous avons joué au « cadavre exquis ».

J’ai demandé à Irène d’illustrer le résultat de notre jeu en cherchant un tableau surréaliste. Mais au fil de ses recherches, elle a fini par tomber sur un artiste contemporain qui fait assez bien l’affaire aussi et qui correspond à son goût : Matthew Grabelsky.

Voici nos petites phrases :

« Au cirque, le patriarche désorienté absorbe le soleil rose bonbon pour gagner un peu d’argent »

« Sur son balcon, la coupeuse d’ongles convalescente griffe la petite taupe fatiguée afin de devenir champion au JO »

« Le french bulldog rationnel paraît drôlement apeuré par prudence »

« Avec panache, la babouche pacifique divise le cannibale en vois vernis dans le désert ».

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